La partie italienne a été évoquée pour la première fois dans le traité d’échecs de Pedro Damiano publié en 1512 à Rome. Elle a par la suite été analysée et documentée par le moine Giovanni GRECCO vers 1650. C’est donc l’une des ouvertures les plus anciennes et très certainement la plus connue des joueurs d’échecs du monde entier. C’est la première ouverture que l’on enseigne aux débutants car elle respecte au mieux les principes fondamentaux de l’ouverture pour les deux camps.
Chaque camp, celui des Blancs comme celui des Noirs, a pour objectif de mettre en œuvre le plus efficacement possible les règles d’or de l’ouverture.
1 – Occupé le centre avec un pion
2 – Développer prioritairement toutes les Pièces « mineures »
(Cavaliers et Fous)
3 – Mettre le Roi en sécurité (en roquant dès que souhaitable)
Les « bases » des parties italiennes sont :
-
- La partie italienne Giuoco Pianissimo (jeu très tranquille)
- La partie italienne Giuoco Piano (jeu tranquille)
Mais contrairement à ce que pourrait laisser penser leur nom, il s’agit d’ouvertures dites en « système ouvert » (en 1.e4 ) qui permettent de rentrer très vite dans un jeu « agressif » , contrairement aux ouvertures dites en « système semi-ouvert » (1.d4) dans lesquelles l’aspect positionnel est primordial.
La partie italienne comporte par ailleurs un grand nombre de variantes et même de sous-variantes qui en font toute la richesse.
Sous-menus de « Parties Italiennes »
Les pièges de la partie italienne (débutant)
Partie italienne – Gambit Evans
Top dix des pièges dans la patie italienne